Presse

Dans son métier de chef privé, Gaston Savina prend plaisir à travailler des produits bruts, parfois simples en apparence, pour en faire une expérience culinaire. Une façon de faire qu’il doit à ses souvenirs d’enfance, ceux d’une cuisine artisanale, « avec les produits de la pêche, de la chasse ou du potager » du côté paternel, et d’une « cuisine plus pimpante » du côté de sa mère.

Têtu

Son parcours est jonché de belles rencontres telles que Frank Graux et Christophe Langrée qui lui ont appris l’amour du produit et l’exigence de la saisonnalité. C’est alors qu’il se spécialise dans l’événementiel ultraconfidentiel entre Londres, où il réside, Paris et Dubaï. En tant que chef privé, il voyage à travers le monde au gré des déplacements de ses clients très fortunés. Il n’en dira pas plus car le secret est la marque de fabrique de sa Société.

Dandy Magazine

Les goûts de l’enfance

Quel que soit le plat réalisé, sa cuisine se veut à la fois tendance et régressive : « Sans être traditionaliste, je défends une cuisine qui renvoie à l’enfance et permet de retrouver une émotion, une cuisine empreinte de culture familiale et de convivialité. »

Dijon Beaune Mag

Comme le savent les amateurs des Dîners secrets de Gaston Savina, le jeune homme travaille seul et contrôle tout. « La cuisine, c’est bien plus qu’une simple assiette. Avec elle vient tout un écosystème, passant tout aussi bien à travers les fournisseurs et les histoires derrière les produits, qu’à travers la vaisselle utilisée », souligne-t-il.

Luxe Infinity

Gastronomique, joyeuse et créative, sa cuisine reflète sa personnalité hétéroclite et créative et mêle des inspirations venues de son enfance, de ses voyages et de la culture queer. Ses plats régressifs sont une invitation à découvrir son univers personnel.

Le Journal des femmes

L’engouement pour sa cuisine ne devrait avoir de cesse de grandir… Ainsi, même si son rêve de s’imposer a été brisé par l’animateur de « Cauchemar en Cuisine », Gaston Savina restera toujours, pour nous, un Top Chef !

Dijon l’hebdo